Nous reprenons le flambeau.
Nous reprenons le flambeau.
Nous reprenons le flambeau pour, cette fois, allumer le bûcher des injonctions genrées.
Voici venu le grand temps de relire nos mythologies, d’ouvrir une brèche dans nos trajectoires quotidiennes.
Nous appelons nos corps vivants ------------ à une mue !

Nous nous avouons mouvant.e.s dans l’écheveau des multiples féminismes qui scrutent nos horizons. Mais parce que nous nous souhaitons de danser nu.e.s en traversant la rue, nous sommes prêt.e.s à répliquer force 9 sur l'échelle de nos somas collectifs.

Nous ne sommes pas des saintes vierges et nous ne sommes pas des guerrières.
Nous sommes des «fictions politiques vivantes», nos corps et nos personnalités en sont, et nous faisons le pari de nous écrire nous-mêmes.
Nous cherchons l’empowerment à l’état pur, depuis les rituels de nos cafés du matin jusqu’au rituel de Samhaïn ou d'Imbolc.

Nous ouvrons la grande bascule.

Nous sommes prêt.e.s.
Nous sommes en crise(s) et en fête.

Nous laverons notre linge sale en public.